Communiqué de presse, 17 octobre 2023
INVITATION : Stamm du 22 et AG du 23 octobre + contacts médias pour le 22 octobre
Chères et chers représentant·e·s des médias,
Dans le cadre des élections fédérales, nous avons le plaisir de vous convier à nos prochains rendez-vous :
A l’ordre du jour de cette AG, sous la présidence d’Alice Genoud:
Cette AG Verte sera suivie à 20h par un congrès commun avec le PS Vaudois, les Jeunes Vert·exs vaudois·exs et la Jeunesse socialiste vaudoise pour démarrer la campagne du 2ème tour de l'élection au Conseil des Etats, également à la salle des spectacles de Renens.
Contacts médias pour le 22 octobre :
Tout au long de la journée du 22 octobre, les candidat·e·s et personnes suivantes seront joignables pour répondre à vos questions :
En nous réjouissant de vous accueillir nombreuses et nombreux le 22 et le 23 octobre, nous vous envoyons nos meilleures salutations et restons à votre disposition pour toute information complémentaire.
Les Vert·e·s vaudois·es
Place de la Palud 7
1003 Lausanne
021 351 36 30
Communiqué de presse, 11 octobre 2023
Les Jeunes vert·exs vaudois·exs dénoncent le gaspillage et le manque de réemploi des matières premières en Suisse, et agissent concrètement à cet égard en effectuant des dépôts aux niveaux fédéral, cantonal et communal sur l’encouragement à la réparation, laquelle est désormais souhaitée par les consommateur-ricexs mais entravée par des raisons techniques et politiques.
Les Jeunes vert·exs vaudois·exs dénoncent le gaspillage et le manque de réemploi des matières premières en Suisse. En effet, la Suisse est l’un des plus gros producteurs de déchets, notamment électroniques. Pour preuve, le Circularity Gap Report 2023 relève que la Suisse n’est circulaire qu’à 6,9%, soit en deçà de la moyenne mondiale. Les Jeunes vert·exs vaudois·exs souhaitent dès lors agir concrètement contre ce fléau en effectuant, aux niveaux fédéral, cantonal et communal, des dépôts relatifs à la réparabilité des objets.
En effet, une action concrète contre le gaspillage des matières premières réside dans l’introduction d’une réelle politique en matière de réparation. Dans ce cadre, une enquête de l’Eurobaromètre relève que 77% des européen·nexs préféreraient réparer leurs biens plutôt que d’en acheter de nouveaux. Or, le sondage de l’Alliance suisse des organisations de consommateurs révèle que 97% des répondant·exs ont déjà dû jeter au moins une fois un objet encore en bon état, simplement parce que le coût de la réparation était trop élevé ou que les pièces détachées n'étaient pas disponibles.
En ce sens, les Jeunes vert·exs vaudois·exs ont soutenu le dépôt au Conseil des États du postulat « Étudier l'introduction d'un soutien financier en cas de réparation (bonus réparation) » (29.09.2023) de Lisa Mazzone (Vert·e·s / GE), lequel tend à favoriser économiquement les personnes souhaitant réparer leurs objets. « Par ailleurs, en cas d’élection au niveau fédérale, les Jeunes Vert·exs proposeront l’introduction d’une garantie obligatoire de 15 ans pour tous produits électroniques vendus, afin de lutter contre l’obsolescence programmée », explique Angela Zimmermann, candidate jeune verte au Conseil national et au Conseil des États.
Au niveau cantonal, Théophile Schenker a déposé aujourd’hui une question, afin de s’assurer que les services cantonaux prennent en considération l’indice de réparabilité et l’énergie grise dans le cadre des achats nécessaires au fonctionnement de l’administration. « Réparer au lieu de jeter permet de limiter des impacts environnementaux à l’étranger liés à la production des biens de consommation, pour favoriser une économie locale de la réparation. L’administration cantonale a un devoir d’exemplarité à cet égard. Il s’agit de s’assurer que les services aient la capacité de réparer leur matériel pour pouvoir privilégier cette solution. Dans ce but, l’indice de réparabilité doit systématiquement être pris en compte lors de l’acquisition de nouveau matériel. » déclare Théophile Schenker, député jeune vert au Grand Conseil vaudois.
Enfin, de nombreu·sexs conseille·èrexs communa·leauxs jeunes vert·exs ont déposé – ou déposeront prochainement – dans leurs communes respectives des textes pour que celles-ci encouragent la réparation des objets sur leur territoire communal. En ce sens, deux propositions individuelles ont déjà été présentées dans les communes de Penthalaz par Maxime Aubert et de Mies par Jean-Valentin de Saussure. D’autres dépôts suivront dans les communes de Bex, Bourg-en-Lavaux, Lausanne, Montreux, Nyon, et Vevey.
Contacts presse :
Angela Zimmermann, Co-présidente des Jeunes vert·exs vaudois·exs, Candidate au Conseil des Etats et au Conseil national : 079 291 62 54
Théophile Schenker, Député Jeune vert vaudois au Grand conseil vaudois : 079 785 79 55
Romane Benvenuti, Conseillère communale Jeune verte vaudoise à Lausanne, Candidate au Conseil National : 077 489 19 14
Communiqué de presse, 28 juin 2023
Faisant suite au dépôt de l’interpellation au Grand conseil neuchâtelois de M. Niels Rosselet-Christ , lequel considère que le Conseil d’Etat doit donner une réponse à la “minorité de personnes qui souhaite imposer ses idées par la force et le désordre au mépris des lois, [et qui] relève du terrorisme”, le Nouvelliste a recueilli dans une publication parue samedi les propos de politiciens de droite abondant dans ce sens. Les Jeunes vert·exs vaudois·exs dénoncent fermement ces discours, lesquels empêchent la prise en considération des revendications légitimes de ces mouvements.
Les Jeunes vert·exs vaudois·exs s’insurgent de l’utilisation de ce qualificatif à l’encontre des actions militantes écologistes. En ce sens, il-ellexs invitent la droite à recentrer la définition de terrorisme. “Alors que la droite se complait souvent à rappeler qu’il ne faut utiliser que des termes reconnus juridiquement, ce sans les détourner de leur sens, elle utilise ici une notion juridique de manière problématique, voire illicite, afin de cloisonner le débat sur la question écologique. En plus d’être contradictoire, ce procédé nous paraît anti-démocratique”, déclare Gaëlle Valterio, co-présidente des Jeunes vert·exs vaudois·exs et candidate au Conseil national.
Pour rappel, le droit suisse définit le terrorisme comme “la situation dans laquelle les acteurs·ricexs cherchent, par des moyens illicites, à influencer ou à modifier l’Etat et la société en commettant ou en menaçant de commettre de graves infractions et en semant la peur et la terreur”. A la lecture de cette définition, les Jeunes vert·exs vaudois·exs concluent que l'intégration des activistes climatiques au sein de cette définition est inappropriée. “Oui c’est vrai, les activistes utilisent parfois des moyens illégaux pour faire passer des messages, mais ce n’est pas pour autant que ces derniers·èrexs sont des terroristes, il faut encore analyser la gravité de leurs infractions. De plus, on peut comprendre le recours à des moyens de la sorte quand le système institutionnel est si lent alors que la situation est si urgente.” déclare Katia Struczyk, Candidate au Conseil national.
En définissant les activistes climatiques comme des terroristes, ces politicien·nexs semblent s’aligner sur la stratégie anti-démocratique prise par la France et leur Ministre de l’intérieur Gérald Darmanin, ce bien que des nombreu·sexs parlementaires de l’Assemblée fédérale aient témoigné leur profonde inquiétude et préoccupation quant à la répression des manifestations ayant eu lieu dans plusieurs villes du territoire français. En effet, les homologues français·exs utilisent le terme d’écoterroriste pour justifier la répression violente actuellement menée contre les activistes luttant pour des politiques pertinentes. “En ce sens, il convient de se demander qui sème réellement la terreur: les actions non-violentes d’activistes refusant de perdre espoir ou la politique aussi peu suffisante qu’ambitieuse menée par les puissant·exs de notre pays, face au dérèglement climatique et les conséquences qu’il entraîne ?” questionne Angela Zimmermann, co-présidente des Jeunes vert·exs vaudois·exs et Candidate au Conseil des Etats.
Contacts presse :
Gaëlle Valterio, Co-présidente des Jeunes vert-exs vaudois-exs, Conseillère communale à Bex, Candidate au Conseil national : + 41 79 919 81 47
Angela Zimmermann, Co-présidente des Jeunes vert-exs vaudois-exs, candidate au Conseil des Etats : +41 79 291 62 54
Katia Struczyk, membre des jeunes ver-exs vaudois-exs, candidate au Conseil national : +41 79 260 68 52
Communiqué de presse, 17 avril 2023
Les Jeunes vert·e·x·s vaudois·e·x·s et valaisan·ne·x·s, ainsi que les Vert·es du Chablais et des Alpes vaudoises, accueillent avec satisfaction la publication de l’étude intercantonale relative à l’optimisation des parkings relais (P+R & B+R) dans le Chablais. Il·elle·x·s estiment en outre que ces aménagements doivent s’accompagner d’une amélioration et d’une extension importante des transports publics dans la région.
Les Jeunes vert·e·x·s vaudois·e·x·s et valaisan·ne·x·s, ainsi que les Vert-es du Chablais et des Alpes vaudoises, se réjouissent des résultats de l’étude intercantonale sur les P+R et B+R du Chablais. Cette étude a été conduite par chablais région en collaboration avec les exécutifs communaux du Chablais et les Services et Offices cantonaux compétents. Une partie des résultats ont été communiqués ce lundi 17 avril 2023 dans le Nouvelliste.
Cette étude propose l’aménagement de nouvelles places de parc dans certaines communes valaisannes et vaudoises afin d’encourager les usager·ère·x·s à utiliser les transports publics depuis leur domicile au lieu de prendre leur voiture jusqu’aux plus grandes gares de la région. Ces créations de places optimisent les emplacements P+R au plus proche du domicile des usager·ère·x·s, évitant ainsi la surcharge de trafic individuel motorisé entre les villages et les grandes gares CFF. “Nous soutenons avec joie cette proposition qui permettrait de réduire les émissions des GES liées aux véhicules motorisés individuels, ainsi que de développer un réseau de mobilité bas carbone, lequel est encore grandement absent dans le Chablais” déclare Sheldon Masseraz, coprésident des Jeunes Vert·e·x·s valais.
Les Jeunes Vert·e·x·s et les Vert·es se réjouissent également que les besoins des cyclistes aient aussi été pris en compte. L’étude préconise l’augmentation des places Bike+R qui passeront de 247 actuellement à près de 1600. “L’étude B+R contenue dans ce rapport intercantonal est une excellente base pour le développement de la mobilité deux roues, ce dont nous pouvons que nous réjouir”, déclare Sandrine Chalet, présidente des Vert·es du Chablais et des Alpes vaudoises.
Les Jeunes Vert·e·x·s et les Vert·es demandent que ces différents aménagements soient accompagnés d’une augmentation importante de l’offre des transports publics de la région, aussi bien au niveau de sa fréquence que de sa densification, notamment du côté valaisan et des hauts. “Pour encourager les chablaisien-nexs à prendre les transports publics depuis leur domicile, il convient que l’offre soit attrayante et facile d’accès dès celui-ci. Nous attendons aussi que l’offre des transports publics soit étoffée ainsi que facilitée dans le Chablais, notamment par plus d’arrêts fixes et de bornes d’achat des billets Mobichablais” déclare Gaëlle Valterio, co-présidente des Jeunes vert-exs vaudois-exs.
Contacts presse :
Gaëlle Valterio, Co-présidente des Jeunes vert-exs vaudois-exs, Conseillère communale à Bex : + 41 79 919 81 47
Sandrine Chalet, présidente des Vert-es du Chablais et des Alpes vaudois-es, Conseillère communale à Corbeyrier : + 41 79 554 24 00
Sheldon Masseraz, coprésident des Jeunes Vert·e·x·s valais, +41 79 196 61 77
Communiqué de presse, 14 novembre 2022
Les Jeunes Vert·exs vaudois·exs s’indignent des procédés de récoltes de signatures pour des initiatives « populaires » des partis bourgeois dans les rues de Lausanne. Les Jeunes Vert·exs vaudois·exs réclament des mesures concrètes pour conserver la confiance de la population.
La confiance de nos concitoyen·ne·s dans l’institution de la récolte de signatures s’étiole, et les JVVD ne peuvent que le comprendre et s’indigner d’un procédé de récolte anti-démocratique, ploutocrate et trompant nos concitoyen·ne·s : la récolte de signatures rémunérées. Deux entreprises occupent actuellement ce marché en Suisse romande, récoltant à la place des partis bourgeois les signatures nécessaires à l’aboutissement de leurs initiatives « populaires ». En 2020 déjà, Mise au point mettait en lumière la pratique des récoltes de signatures par des sociétés mandatées par les partis bourgeois 1. Suite à cette enquête, la population était en droit d’espérer que ces pratiques cessent : la semaine dernière, une équipe de la RTS a pourtant démontré que ces procédés subsistent et leurs conséquences également 2.
La récolte de signatures rémunérée menace la démocratie en elle-même et son bon fonctionnement. Fin 2021, l'UDC lançait deux initiatives visant à limiter le droit à l'avortement, et les 100'000 signatures peinent à être récoltées. Pour ne pas échouer, l’UDC met à profit ses larges moyens financiers et recourt à des récoltes de signatures rémunérées. Bien que le recours à cette pratique pour des montants plus élevés qu’habituellement (4 CHF par signature au lieu de 1 à 2 CHF) prouve que ces initiatives d’un autre âge ne dupent personne, la récolte de signatures rémunérées en elle-même reste très problématique. En effet, l’achat de signatures incite les personnes payées à la signature et parfois dans des situations précaires à recourir à des arguments trompeurs ou fallacieux dans le but d’obtenir une paye.
La récolte de signatures est un exercice important pour une démocratie saine, faisant dialoguer partis politiques et population. Or, le procédé anti-démocratique de la récolte de signatures rémunérées décrédibilise les récoltant·e·s bénévoles, activement engagé·e·s pour leurs causes. Les JVVD, en tant que récoltant·e·s uniquement bénévoles, regrettent le sentiment de méfiance engendré chez nos concitoyen·ne·s par ce genre de pratiques et condamnent fermement leur usage.
« La récolte de signatures rémunérées nuit à notre démocratie, contrairement à ce que prétend la droite. Je constate une forte baisse du dialogue avec et de la confiance enversles récoltant·e·set une hausse de la méfiance pour les institutions politiques. » Cynthia Illi, présidente des JVVD.
Au vu de tous ces éléments, les JVVD exigent les mesures suivantes :
Contacts presse :
Cynthia Illi, porte-parole et présidente des JVVD, +41 78 611 43 79
Gaëlle Valterio, membre du comité, +41 79 919 81 47
Angela Zimmermann, membre du comité, +41 79 291 62 54